La croyance à l'univers de métamatière, sa symbiose avec l'univers de matière et sa relation avec les humains se positionne par rapport à l'homosexualité.
Les accouplements homme/homme et femme/femme sont sans incidence au regard de la nature de matière. Ils ne produisent pas de métons non conformes métamatériellement. L'homosexualité est une originalité de l'intelligence humaine par rapport à l'instinct humain de reproduction.
Les hommes sont instinctivement attirés sexuellement par les formes du sexe opposé. Si le "sexe opposé" est le même que le sien, pas de réel problème au regard de la nature de matière et de la nature de métamatière.
Les considère t-on hommes ou femmes ? Ils sont à la foi hommes et femmes.
Est ce un privilège ou une anomalie de la nature de matière ? C'est une singularité dans la possession des deux énergies : l'instinct et l'intelligence.
Comment la nature de matière nous montre ce qui est contre nature ?
Par la souffrance et la mort.
La nature de matière se protège contre la non conformité de ses éléments par la souffrance et la mort. Tout être matériel ayant des comportements contre nature s'expose d'abord à la souffrance et à terme à la mort.
Pas de riposte de la nature de matière contre l'homosexualité. L'homosexualité n'est pas contre nature matérielle ni contre nature métamatérielle.
La spécificité de la nature de matière est le renouvellement. Tout meurt dans cette nature. La reproduction est donc le dynamisme de la nature de matière. Sans reproduction, pas de nature de matière. Pour encourager la reproduction, la nature de matière se donne des moyens. Elle a fixer dans le marbre de l'instinct les processus de reproduction de chaque espèce. Elle donne l'extase aux êtres vivants se reroduisant.
Chez certaines espèces animales, seulement instinctives, le processus de reproduction implique un mâle et une femelle concentants. Ils ne peuvent pas dévier en reproduction des liens instinctifs imposés par la nature de matière.
C'est différent chez les humains. Ils ont l'intelligence en plus des instincts. L'intelligence influe sur l'instinct, l'instinct influe sur l'intelligence. Le processus de reproduction peut être déréglé. Un homme peut vouloir s'accoupler avec un homme. Une femme peut vouloir s'accoupler avec une femme.
Ce n'est pas un problème pour le système de reproduction de l'espèce humaine. Sa survie n'est pas menacée. La reproduction homme/femme sera toujours prédominante.
L'accouplement homme/femme consentants est idéal. Il est inscrit dans le marbre de l'instinct.
L'accouplement homme/homme, femme/femme n'est pas contre nature matérielle. Les deux partenaires sont consentants.
L'accouplement homme/enfant et femme/enfant est contre nature matérielle. L'enfant n'est pas conscient de cet acte pour être consentant.
L'accouplement homme/animal et femme/animal est contre nature matérielle. L'animal n'est pas du tout consentant.
La nature de matière a fait le mâle et la femelle comme acteurs du processus de reproduction de certaines espèces d'êtres vivants. Ils se reproduisent d'instinct en suivant les lois établies sans possibilité de dévier.
L'espèce humaine est à part. Elle a l'intelligence en plus des instincts. La nature de matière est impuissante face à l'intelligence.
L'homosexualité dépasse les compétences de la nature de matière. Quand deux hommes ou deux femmes s'accouplent en étant consentants, la nature de matière s'en lave les mains ! Pas de riposte de sa part, la souffrance.
Les animaux ont seulement l'instinct pour vivre. La nature de matière a imposé au mâle et à la femelle des comportements idéaux lors de l'accouplement. Ces comportements sont figés dans les lois de l'instinct. Ils ne peuvent pas dévier de ces lois. Dans la nature de matière, les partenaires, mâle et femelle, de l'accouplement sont consentants.
Les humains ont l'intelligence en plus des instincts. L'intelligence leurs permet de se libérer des liens de l'instinct. Ils ne sont plus bridés par les liens de l'instinct qui règlent le processus d'accouplement des êtres vivants de la nature de matière. Ils sont néanmoins tenus de se comporter de façon responsable envers la nature de matière.
L'accouplement homme/femme consentants est idéal.
L'accouplement homme/homme consentants et femme/femme consentantes n'est pas contre nature matérielle. C'est une singularité du binôme intelligence humaine/instinct humain.
L'accouplement homme/enfant et femme/enfant est contre nature matérielle. L'enfant n'est pas conscient de cet acte pour être consentant. C'est un abus de supériorité intelligente de l'adulte sur l'enfant.
L'accouplement homme/animal et femme/animal est contre nature matérielle. L'animal n'est pas du tout consentant. C'est une déviance grave de l'intelligence humaine.
La Croyance est évolutive.
A un moment dans l'évolution de la Croyance, l'homosexualité était proscrite pour des raisons valables pour l'époque.
La Croyance vient d'évoluer avec la découverte de l'univers de métamatièe, sa symbiose avec l'univers de matière et sa relation avec les humains. De nouvelles données permettent à la Croyance de dépénaliser l'homosexualité : l'homosexualité n'est pas soumise à la riposte de la nature de matière contre toute agression : la souffrance. Elle n'est pas non plus contre nature métamatérielle. Elle ne produit pas de métons non conformes.
L'homosexualité chez les animaux, seulement instinctifs, est une anomalie de l'instinct. L'homosexualité chez les humains, instinctifs et intelligents, est une singularité de l'intelligence.
Un père restera toujours dans son rôle de protecteur de sa famille des agressions extérieures et intérieures même s'il parait trop doux avec ses enfants. Il est intrinsèquement constituer pour ce rôle. Le rôle de mère ne convient pas à un homme unit à un autre homme voulant adopter un enfant. Il n'y a plus cette douceur naturelle indispensable à l'évolution normale de l'enfant.
Une mère restera toujours dans son rôle d'accompagner les enfants dans les premiers stades de la vie même s'il elle parait trop rude avec eux. Elle est intrinsèquement constituée pour ce rôle. Le rôle de père ne convient pas à une femme unit à une autre femme voulant adopter un enfant. Il n'y a plus cette force naturelle indispensable à l'évolution normale de l'enfant.
|